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ÉCHEC AU CRIME

Des arrestations qui mènent à d’autres arrestations…

Des arrestations qui mènent à d’autres arrestations…

Lundi le 4 novembre 2019, Agent Mickaël Laroche

Au cours de la dernière fin de semaine, pas moins de trois personnes ont été arrêtés parce qu’ils conduisaient sous l’effet de l’alcool. Deux de ces interventions ont également mené à l’arrestation de deux autres personnes parce que celles-ci entravaient le travail des policiers.

Vers 1 h 20 dans la nuit de dimanche le 3 novembre, une dame a été interceptée sur la rue Despins à Magog parce qu’elle avait une conduite erratique. Suite à une brève enquête, le policier a déterminé que la conductrice de 50 ans avait les capacités affaiblies par l’alcool et elle s’est donc fait arrêter. Une fois au poste de police, elle a échoué les tests exigés par le technicien qualifié en fournissant des échantillons d’haleine qui démontraient que son taux d’alcoolémie dépassait près de trois fois la limite permise par la Loi. Au moment de l’interception, la fille de la dame, qui était passagère dans le véhicule Chevrolet Traverse, était en colère et a tenté de s’interposer physiquement. Lors de sa crise, elle a même poussé sa mère, qui tentait de la retenir, et cette dernière est tombée dans un fossé d’une profondeur d’environ deux mètres. La jeune femme de 27 ans, qui était très intoxiquée au moment des faits, a dû être arrêtée. Elle a par la suite frappé le policier et a été incarcérée le temps de se calmer. Elle devra comparaître ultérieurement au Palais de justice de Sherbrooke.

Pratiquement au même moment, une cliente du Café St-Michel à Magog a contacté le service de police pour dénoncer le comportement d’une autre conductrice. En effet, cette dernière aurait percuté légèrement une autre voiture en tentant de se garer en parallèle devant le bar avec son Honda Civic noir et elle n’avait pas l’intention de le signaler. Une fois sur place, les policiers ont localisé la dame de 38 ans qui était maintenant à l’intérieur du bar et ils ont procédé à son arrestation puisque celle-ci était visiblement sous l’effet de l’alcool. Son conjoint, un homme de 30 ans, a tenté de s’interposer physiquement et a nui au travail des policiers. Malgré de nombreux avertissements, il a persisté, si bien que les policiers ont dû procéder à son arrestation. Les deux individus ont été transportés au poste de police. Une fois à cet endroit, la dame n’a pas bien collaboré avec le technicien qualifié puisqu’elle n’a fourni qu’un seul des deux tests requis (près du triple de la limite permise). Une accusation supplémentaire pour avoir refusé de fournir un échantillon d’haleine a donc été ajouté au dossier.

Tout comme la dame de l’événement précédent, la drummondvilloise n’avait pas d’antécédent et a été libérée par promesse de comparaître ultérieurement au Palais de justice de Sherbrooke. Les permis de conduire des deux dames ont été suspendus pour une période de 90 jours et les véhicules ont été saisis pour une durée de 30 jours. En ce qui concerne l’homme, il brisait également des conditions qui faisaient suite à une probation. Il a, lui aussi, été libéré avec une promesse de comparaître.

À noter que vers 3 h 30, samedi le 2 novembre, un homme de 39 ans avait aussi été arrêté pour conduite avec les capacités affaiblies par l’alcool. Il circulait à bord d’un véhicule Jeep Grandcherokee noir près de la rue des Champs Élisés sur la rue Merry Nord à Magog lorsqu’il a été intercepté par les policiers. Sa conduite avait d’abord attiré l’attention des agents. Suite à son arrestation, il a été transporté au poste de police où il a échoué les tests effectués à l’aide de l’éthylomètre. Puisqu’il a soufflé plus du double de la limite permise, son permis a été suspendu pour une période de 90 jours et son véhicule a été saisi pour une durée de 30 jours. Il s’agissait de la troisième fois que ce sherbrookois au lourd passé criminel se faisait prendre pour ce type d’infraction. Il a été libéré par voie de sommation.

Nous désirons rappeler au gens qu’il est intelligent de faire appel à un taxi, à un service de raccompagnement ou encore à un ami lorsque nous consommons de l’alcool et/ou de la drogue.